Cinq ans après le démantèlement de la « Jungle », en octobre 2016, Calais se trouve, une fois encore, au centre de l’attention politique et médiatique, en France et au Royaume-Uni.
« Il y a quelques jours, cinq agriculteurs ont été surpris en train de cacher du maïs lors d’une inspection inattendue. Chacun d’entre eux a été condamné à cinq mois dans un centre disciplinaire de travail. »
« Hier, nous avons invité les gens à partager leurs encouragements pour les familles des otages. Depuis lors, une vague d’amour est venue du monde entier. »
Actuellement détenu au Pakistan, dans une cellule avec des musulmans, Stephen Masih serait « en danger » selon les experts de l’Organisation des Nations Unies.
« Maintenant vous allez dire que je répands la haine bien que je sois un saint. Mais il est important d’allumer le feu parfois. Je te dis, quiconque entre dans votre maison, rue, quartier, village, ne lui pardonne pas. »
« Voilà la foi que nous devrions tous avoir », affirme le pasteur qui témoigne de ce moment sur les réseaux.
Les partenaires à l’origine de cette construction, parmi lesquels des églises anglicane, catholique, non-conformiste et pentecôtiste, veulent renouveler « la foi dans la prière », « révéler Christ à la nation », et « préserver l’héritage chrétien ».
« Nous voulons que ce soit un événement public, qui puisse être connu. Il fallait les protéger d’une éventuelle expulsion : s’ils avaient été dans un lieu public, ils auraient risqué d’être expulsés. »
Le Cardinal Eugène Tisserant et le Recteur Mgr André Bouquin, et un diplomate français François De Vial, viennent d’être nommés « Justes parmi les Nations » à titre posthume par le Yad Vashem.
« Ils demandent : ‘Pourquoi devrions-nous revenir alors que nous ne pouvons garantir à nos enfants une vie décente ni la liberté religieuse ?’ [...] Nous ne pouvons pas les convaincre de rester parce qu’ils disent : ‘Comment p
