Un film de Noël dans lequel Satan essaye de voler l’âme d’un petit garçon suscite la controverse
Le 25 novembre prochain, Paramount+ sortira le film Dear Santa, un film de Noël relatant l’histoire d’un petit garçon dont Satan essaye de voler l’âme. À l’annonce de cette sortie, les critiques se sont multipliées, certaines personnes voyant dans ce film, une glorification de Satan.
La période des films de Noël a commencé ! Mais cette année, c’est un film un peu spécial que Paramont+ proposera à partir du 25 novembre.
C’est l’histoire d’un petit garçon, prénommé Liam, qui décide d’écrire une lettre au père Noël. Cependant, ce dernier se trompe dans l’orthographe du destinataire et au lieu d'écrire Santa (Père Noël en anglais NDLR), il écrit Satan. À la réception du courrier, le diable propose à l’enfant trois vœux en échange de son âme.
Affirmant qu’il est "bien meilleur que le Père Noël", Satan offre à Liam de l’argent, des jouets, ainsi que la célébrité, en lui permettant de rencontrer des personnes connues comme la pop star Malone.
Le film se termine alors que la famille du petit garçon s’inquiète pour lui. "Écoutez, j'ai peur que Satan me trompe pour m'enlever mon âme" leur déclare-t-il. De son côté, le diable affirme ne pas avoir réussi ce qu’il voulait.
"J’ai tout essayé, le gamin est incorruptible."
"La normalisation de Satan continue"
À l’annonce de ce prochain film de Noël, de nombreuses personnes ont déclaré ne pas comprendre le lien entre cette période de l’année et le diable. Tandis que certains internautes affirment qu’ils ne perdront pas leur temps "à regarder un film qui glorifie Satan", d’autres estiment que "la normalisation de Satan continue" et invitent à ne "pas tomber dans le panneau".
"Je ne comprends pas pourquoi les gens détestent ça. Cela ressemble à un film de Noël stupide et amusant qui n'est pas censé être pris au sérieux et je suis tout à fait d'accord avec ça. Je sais que je vais m'amuser à le regarder" estiment d’autres internautes.
Un film de Noël plutôt original qui ne plaira pas à tout le monde.
Mélanie Boukorras
