A 10 jours du lancement officiel de la fresque musicale retraçant la vie de Jésus de Nazareth à Jérusalem, nous avons participé à une avant-première depuis le Palais des Sports de Paris. Plusieurs questions nous sont venues quant à la conformité du spectacle au niveau biblique, son impact sur le message de Jésus auprès des chrétiens comme des non chrétiens et bien sûr la qualité artistique entre les chants, les danses et la mise en scène. Comment Pascal Obispo et Christophe Barratier ont-ils abordé ces différentes thématiques ?
Départ très matinal en ce Vendredi 6 Octobre 2017 depuis la gare de Grenoble pour monter à la capitale assister au filage du spectacle de Pascal Obispo et de Christophe Barratier : Jésus, de Nazareth à Jérusalem. (Pour nous ce sera : sur les traces de Jésus, de Grenoble à Paris). Depuis quelques mois déjà, les réseaux sociaux et les plateformes des médias regorgent de publications recensant les différentes interviews des artistes qui composent ce spectacle. Les clips des titres mis en avant par la production nous ont déjà conquis et nous avons hâte de découvrir le spectacle vivant.
Arrivés à la gare de Lyon de Paris, nous avons de l’avance et prenons le temps de nous restaurer dans l’un des rares restaurants labellisés « sans gluten » qui font toute la joie de mon épouse. Je saisis chaque instant de ce moment particulier. Même si je me suis habitué aux connexions divines, je n’en demeure pas moins enthousiasmé et privilégié de pouvoir assister à cette avant-première dédiée à la presse en compagnie de mon épouse. Etant plutôt à l’aise dans la rue où je peux annoncer la bonne nouvelle de l’Evangile tout en partageant ma relation avec Jésus et répandre son amour par mes bras qui enlacent et mes chants qui réconfortent, je suis pressé de découvrir cette fresque musicale pour saisir la portée de ce spectacle. Les éclats de rires fusent entre nous et on se sent baigné dans une onction des plus joyeuses et légères en ce début d’après-midi.
Le rendez-vous étant fixé à 14h45 au dôme du Palais des Sports, nous arrivons sur place suffisamment en avance pour prendre le temps de capturer quelques prises de vue. Nous prenons aussi le temps de décompresser en confiant cette après-midi entre les mains de Dieu. Paris semble calme et l’atmosphère est des plus douces. Le soleil qui vient nous réchauffer est comme un clin d’œil pour parfaire cet instant de grâce. Etant un partageur, je publie un Facebook Live en guise de journal de bord où chacun pourra suivre les coulisses de cet événement. M’attendant toujours à ce que nous soyons des instruments conduits par l’Esprit, je repère trois jeunes femmes qui semblent prêcher la « bonne nouvelle des témoins de Jéhovah ». Je ne peux rester sur place et m’empresse d’aller à leur rencontre non pas pour entamer une discussion théologique infructueuse mais seulement pour les bénir chaleureusement. Quelle ironie de se trouver à deux pas de la scène où va se jouer la vie de Jésus et de croiser ces trois personnes...
Suite à cet épisode, nous faisons la connaissance d’Hubert de Torcy, de SAJE Productions, qui coordonne tous les médias chrétiens. L’entrée de la salle de spectacle est devant nous et les grandes affiches, exposant le regard du comédien-chanteur Mike Massy qui interprète Jésus, semblent arrêter le temps autour de nous. Les premières questions s’amoncellent à propos de l’organisation, provenant des différents médias qui commencent à nous rejoindre.
Pascal Obispo vient de traverser le parking à bord de sa berline et son impresario nous salue brièvement tout en restant accrochée à son smartphone pendant qu’elle donne des directives. Quelques danseurs achèvent de répéter leurs chorégraphies dans le hall d’entrée où nous sommes invités à pénétrer quelques minutes plus tard.
L’attente semble interminable et je devine que cela doit être le lot commun de la plupart des journalistes nous entourant. Petit à petit, nous saluons nos « confrères d’une après-midi » avec leur appareils tous aussi sophistiqués les uns que les autres venant contraster avec nos équipements. Quelques figures célèbres des médias chrétiens font leur apparition, tels que Eric Célérier de Top Chrétien, Pierre Chausse des éditions Première Partie, Grégory Turpin, chanteur pop-chrétien, et Jean-Luc Trachsel, fondateur de l’A.I.M.G.
Nous restons les yeux fixés sur Hubert afin d’avoir le feu vert pour rentrer dans la salle de spectacle. Après une longue étreinte avec mon épouse pour nous fortifier et prier pour que tout soit conduit, nous entrons enfin dans la grande salle. Nous découvrons les fauteuils feutrés bleus parfaitement alignés et nous nous approchons de la régie située au milieu de la salle. Une revue de presse nous est remise et nous sommes invités à prendre place. Je m’installe timidement près d’un journaliste de France 3 et prépare mon matériel de prise de vue avec assurance. A ma droite, une journaliste de LCI se prépare timidement avec un trépied où vient trôner son smartphone. Pour briser la glace, je commence à faire sa connaissance et elle m’explique qu’elle ne savait pas que l’on pourrait filmer le filage sinon elle serait venue avec une équipe dédiée...
Levée de rideaux...
Tout cela semble irréel ! J’ai hâte de découvrir les décors et les comédiens et je m’assure d’avoir le meilleur angle de vue possible. Tout cela semble irréel ! J’ai débuté quelques mois plus tôt en me faisant la main lors de témoignages de conversion ou en sortant dans les rues afin de filmer différentes sorties d’évangélisation où l’on priait pour les malades, ou encore en réalisant quelques vidéos d’enseignements dans les églises. A présent je me retrouve pour la première fois entre des grands médias nationaux, à Paris, entouré de professionnels et m’apprêtant à découvrir la première partie du spectacle mettant en scène celui pour qui j’ai donné ma vie et mon cœur ! D’ailleurs je ressens les pulsations cardiaques qui résonnent dans mon thorax lorsque le noir complet arrive soudain dans la salle. Un texte défile sur les rideaux pour situer la scène que nous allons vivre, à savoir Jean le Baptiste qui prêche la repentance dans le désert. Je ne peux m’ôter un léger sourire du coin des lèvres en ayant comme une impression de déjà vu et entendu, notamment avec des amis évangélistes fervents défenseurs de la repentance et je les imagine en costume d’époque dans les rues de nos villes contemporaines...
Comment des artistes, la plupart non-croyants, sont parvenus à créer cette atmosphère ?Dès l’ouverture des rideaux, toute la salle est envahie par la présence de Dieu qui est palpable dans l’air et je suis le premier à être surpris par cette intensité dès le début du spectacle. C’est un peu comme le poids de la gloire qui descendrait du ciel et qui se poserait sur nous tel un manteau... C’est à la fois ce mouvement de l’extérieur vers soi, mais auquel vient répondre un jaillissement du dedans de soi, un élan d’amour et de reconnaissance. C’est un état dans lequel il est bon de se « blottir ». Comment des artistes, la plupart non-croyants, sont parvenus à créer cette atmosphère si particulière que je n’ai ressenti de manière aussi tangible que lors de certains rassemblements chrétiens ?
La fresque est magnifique : à couper le souffle ! Les décors sont sobres mais on se sent dépaysé rapidement comme si on prenait part historiquement et géographiquement à la scène. Les effets de lumières aident à l’immersion dans le jeu des comédiens et la musique envahit toute la salle par un son puissant et précis. On sent la finesse de la mise en scène de Christophe Barratier que l’on devine aux aguets et vigilant aux moindres détails. L’entrée de Mike Massy incarnant Jésus est imminente et commence par son baptême mis en scène par une sorte d’aspersion à l’aide d’un linge que l’on présume humide. On se doute que par soucis technique un baptême par immersion n’a pu être mis en œuvre, n’en déplaise à la précision historique ainsi qu’aux défenseurs les plus férus de l’immersion totale...
Les scènes s’enchainent, toutes aussi majestueuses et puissantes les unes que les autres. Le spectacle dépeint le plus fidèlement possible les évangiles avec par exemple la rencontre de Jésus avec ses disciples en Galilée. Une scène décrit également les inquiétudes de Marie, mère de Jésus. La comédienne Anne Sila parvient d’ailleurs à nous transporter, grâce à sa voix empreinte de douceur et de puissance qui est une vraie prouesse technique ! Des versets bibliques viennent illustrer certaines transitions et les textes des différents chants ainsi que les dialogues sont en grande partie inspirés de la Bible, ce qui rend le contenu particulièrement cohérent avec les écritures.
On entend à plusieurs reprises le public improvisé pour cette après-midi applaudir chaleureusement à l’issue de scènes intenses en émotions : par exemple, après La première pierre, où Marie-Madeleine échappe à la lapidation grâce à l’intervention de Jésus avec des paroles vibrantes au sujet du pardon et de cette réponse de la grâce qu’il clame tenir du Père. Ou encore, à la fin du premier acte, avec le chant Il marche qui met en scène tous les principaux comédiens et où Mike Massy chante l’entrée de Jésus à Jérusalem dans un chant qui est comme une déclaration ferme et puissante face à ce qui attend chacun dans la ville sainte...
Il nous faut lutter avec l’envie de se joindre à la danse...
Je soulignerais particulièrement l’interactivité avec le public puisque, à plusieurs reprises, les cameramen se sont fait piéger par les comédiens qui descendaient des gradins, la scène se jouant également en dehors de l’estrade. Lorsque la chanson La bonne nouvelle retentit dans la salle, il nous faut lutter avec l’envie de se joindre à la danse pour faire la fête avec les comédiens ! Ça sera sans nul doute le titre le plus populaire de ce spectacle.
Finalement, après une heure de représentation, le filage se clôture après la scène où Jésus va entrer à Jérusalem. J’ai été séduit à plusieurs reprises tantôt par la précision de la mise en scène, tantôt par le jeu de rôle et l’authenticité de Mike Massy et des comédiens principaux, mais également par la profondeur du texte empreint de la parole de Dieu. Mon seul regret sera de ne pas avoir vu la deuxième partie que je vais m’empresser d’aller voir en tournée !
On a interviewé les chanteurs et comédiens du spectacle !
Notre objectif à présent avec Carine sera de nous adresser aux comédiens et aux créateurs de cette fresque musicale. L’empressement se fait à nouveau ressentir et tout le monde grouille autour de nous comme une colonie de fourmis. En descendant pour nous rapprocher de la scène, on ne peut éviter le sourire béat de Jean-Luc Trachsel qui est littéralement bouleversé par ce qu’il vient de voir ! Nous partageons avec lui nos ressentis et commençons à filmer son retour « à chaud ». Selon ses propres dires, il s’agit d’un outil puissant d’évangélisation et le public va être touché par ce spectacle. Il souhaite ardemment recommander cette fresque musicale à tous ceux qui désirent faire connaître le message de la bonne nouvelle autour d’eux. Il nous dit par exemple :
« Ça c’est bien meilleur qu’aucune des prédications que j’ai entendu à ce jour ! Parce que c’est du live, c’est du réel… »
Son avis est très rassurant et positif et nous nous rejoignons dans nos analyses et ressentis. Pierre Chausse, Hubert de Torcy et Eric Célérier ne feront qu’appuyer leur avis sur la conformité de ce spectacle tant au niveau des écritures que sur la portée et l’impact qu’il va avoir sur le public !
En nous rapprochant des comédiens pour les interviewer, on sent qu’ils sont également excités et très demandeurs de nos retours qui sont à l’unanimité positifs et encourageants. Crys Nammour (Marie-Madeleine) semble être la plus « chrétienne » de la troupe et on la sent à l’aise avec la dimension biblique du spectacle. Elle sera la première à accepter de répondre à nos questions. Elle se prête avec enthousiasme à toutes nos sollicitations.
Olivier Blackstone (Pierre) nous aborde quant à lui avec beaucoup de simplicité et nous partage être très touché par son personnage qu’il qualifie de colosse au pied d’argile et dans lequel il se reconnaît. Il a déjà revêtu sa tenue de « civil » mais on le reconnaît aisément grâce à sa barbe abondante et ses cheveux que l’on devine frisés sous son bonnet.
Grégory Deck (Jean) semble particulièrement saisi par le message d’amour transmis par le spectacle. Il ne lâchera pas une seule seconde son « bâton d’amour » et j’ai pris plaisir à plaisanter avec lui à plusieurs reprises en lui donnant la réplique. Bien que ne connaissant pas du tout l’histoire de Jésus au préalable, il nous a partagé que sa foi en l’amour qui est porté dans le message de Jésus est grandissante. D’ailleurs celle-ci a pu être éprouvée dès le soir même car il s’est fait agresser dans les rues de Paris après notre rencontre. Or, malgré le vol de son smartphone et quelques coups reçus , il a véhiculé un message d’amour et de paix sur les réseaux sociaux en écrivant sur sa page personnelle, malgré sa colère et son indignation :
« Je suis debout, ils ont eu mon portable, mais ils n’auront pas ma joie de vivre et ma foi. »
Carine a lu dans ses yeux beaucoup d’émotion à parler de cet amour qu’il a trouvé à travers cette fresque musicale, mais elle y a décelé aussi quelque chose de plus subtil : une lueur ne demandant qu’à s’embraser et devenir une flamme. Grégory est ce que Jésus appelle un homme de paix, un homme qui non seulement peut être touché par l’amour mais qui a un appel sur sa vie à être un « diffuseur » d’amour, à être débordant des eaux vives de la grâce... Il n’incarne décidément pas Jean pour rien !
Anne Sila (Marie, mère de Jésus) nous est apparue calme et souriante : la joie incarnée. Elle prend très à cœur son rôle de mère de Jésus et semble être émue par la portée de son personnage. J’avoue que j’aurais aimé voir onduler une belle chevelure brune sur ce visage angélique mais ça n’enlève pas moins les qualités de cette jeune artiste musicienne et chanteuse.
Mike Massy (Jésus) sera le dernier des comédiens que nous interviewerons. On le sent quelque peu fatigué par les multiples sollicitations auxquelles il a déjà dû répondre mais on ne dénote aucun signe d’agacement ou d’irritation chez lui. C’est avec beaucoup de simplicité qu’il nous aborde et nous décidons de le mettre à l’aise en l’invitant à s’asseoir sur le devant de la scène. Je ne sais expliquer si c’est la portée de son personnage, la profondeur de son regard ou le ton posé et chaleureux de sa voix qui semble nous baigner dans une ambiance rassurante et détendue. C’est avec beaucoup d’humilité qu’il nous partage ses ressentis en tant qu’artiste puis sa vision de la portée de Jésus dans son pays natal, le Liban. On sent que la spiritualité et l’histoire de Jésus l’ont particulièrement touché dans son rôle mais également depuis sa plus tendre enfance où il a été baigné dans les histoires liées aux évangiles.
On sent que la spiritualité et l’histoire de Jésus l’ont particulièrement touché dans son rôle...
Pendant les interviews, je ne peux m’empêcher de publier quelques vidéos en direct sur les réseaux sociaux afin de faire vivre ces instants à nos amis et à toutes les personnes qui nous « suivent ». C’est important pour moi de partager les coulisses de cet événement autant pour la spontanéité mais aussi pour me sentir moins « privilégié » que les autres et les immerger avec nous. Ça me permet également de me détacher quelques instants de notre rôle en tant que journalistes pour devenir l’espace d’un instant spectateur de nos interviews.
J’ai appris que Pascal ne se dévoile pas concernant sa foi qui pour lui reste du domaine privé
Il nous reste à aborder les deux auteurs de cette production artistique, je veux bien entendu parler de Pascal Obispo et Christophe Barratier qui sont respectivement responsables de la mise en musique et de la mise en scène. Pascal semble enchaîner les interviews de la grande presse et je comprends très vite que cela va être difficile de l’amener face à nos caméras... Je tente tant bien que mal une approche et je lui demande s’il est libre mais il me renvoie illico vers son impresario qui a déjà un programme bien chargé. Cela me laisse tout de même la vague impression que certains médias chrétiens ont été esquivés car j’ai appris que Pascal ne se dévoile pas concernant sa foi qui pour lui reste du domaine privé. Il n’en demeure pas moins marqué jusqu’à dans son nom de famille « Obispo » qui signifie « évêque » en espagnol et il a tout de même participé à trois spectacles abordant les thèmes de la foi comme Les 10 commandements ou Adam et Eve.
Christophe Barratier est quant à lui un grand bavard ! Nous devrons nous armer de patience car chaque question qui lui est posée par nos confrères déclenche une série de réponses plus complexes les unes que les autres. On sent qu’il est passionné par ce qu’il vit et ce qu’il partage au travers de ce spectacle. La plupart des acteurs ont déjà rejoint leur loge et Pascal Obispo s’est déjà absenté de la salle. Même le costumier qui était prêt à nous accorder une interview s’est défilé, ne pouvant faire preuve d’autant de patience.
Il nous a confié à quel point le chemin de quelqu’un voulant suivre Jésus doit être profond et radical !
Commence notre interview avec Christophe : il prend toute l’attention de son auditoire qui se compose de quatre journalistes dont nous faisons partie étant donné que c’était le dernier entretien qu’il consacrait à la presse ce jour-là. Il nous parle de la précision avec laquelle il a abordé les écritures et la mise en scène du spectacle. J’ai particulièrement apprécié les allusions qu’il a pu faire hors caméra à propos de certaines messes soporifiques auxquelles il a pu assister tantôt dans son enfance et récemment dans son quartier résidentiel de Paris Montmartre. Un thème qui l’a particulièrement touché est le péché et il nous a confié à quel point le chemin de quelqu’un voulant suivre Jésus doit être profond et radical ! Prions pour qu’il saisisse que sans la grâce il nous est impossible d’être justes et qu’il puisse passer le relais à Dieu lorsqu’il est à bout de ses propres forces humaines.
Notre intervention toucha à sa fin vers les 18h00, bien que nous n’ayons pas vu ces trois heures défiler. Les encouragements et les compliments d’Hubert nous ont porté pendant toute la durée des interviews et il semblait étonné que nous ayons pu approcher autant d’artistes. Les techniciens continuent leur tests sur les éclairages et les lumières ne cessent de virevolter autour de nous. Nous quittons la salle par les coulisses où sont rangés les éléments du décor, les armes et les costumes organisés sur des cintres.
En sortant, nous sommes encore empreints de l’ambiance qui régnait dans le Palais des Sports et nous reprenons peu à peu le contact avec la réalité en nous concentrant sur le trajet qui nous mènera à notre hôtel. J’ai envie d’inviter toutes les personnes que je croise dans la rue à aller voir ce spectacle unique. C’est la première fois que j’assiste à une fresque musicale même si j’ai eu l’occasion de me rendre à des spectacles d’humour, des concerts et même à un ballet. Seulement cette fois-ci le côté artistique est sublimé par l’impact de l’Evangile et la puissance d’amour qui est véhiculé à travers les comédiens. D’ailleurs, Olivier Blackstone nous a partagé son émoi qu’il a ressenti au sein de la troupe qui, selon ses propres mots, lui apparaît comme une famille.
L’amour diffusé qui va toucher chacun des spectateurs
Nous ne pouvons que recommander vigoureusement ce spectacle tant par son côté artistique indiscutable avec des artistes professionnels et de qualité, tant par la réalisation orchestrée par deux auteurs reconnus dans leur domaine et surtout par l’amour diffusé qui va toucher chacun des spectateurs. On peut le recommander également pour le respect des écritures et j’encourage tout un chacun à inviter leurs amis, leur famille ou leurs collègues afin de susciter des échanges sur le thème de la foi et de l’Amour avec un grand « A ». Personnellement, pour nous, c’est un outil de plus – mais l’un des plus beaux – à rajouter à notre panoplie d’évangélisation.
→ Pour en savoir plus sur le spectacle.
Thierry Amorin
La rédaction remercie Thierry et Carine d’avoir représenté Info Chrétienne à l’occasion de cette avant-première presse.
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Info Chrétienne est partenaire de la Fresque Musicale « Jésus, de Nazareth à Jérusalem »