L’édito de Camille du 18 novembre : Mobilisé(e)s pour le Liban

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Nous vous avions déjà invités à vous mobiliser pour le Liban cet été à l’occasion de notre campagne SOS Médicaments pour le Liban, dans le but de récolter des médicaments pour le Pays du cèdre.

Cette fois-ci, nous vous présentons l’initiative de l’organisation Un Verre d’Eau qui s’engage pour les Libanais aux côtés d’hommes et de femmes qui agissent sur le terrain.

Alors que le Liban s’effondre chaque jour un peu plus dans une dépression économique grave, Un Verre d’Eau se mobilise pour changer le destin de 10 000 familles au Liban. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site d’InfoChrétienne.

Les actualités du jour nous invitent à nous pencher sur la situation d’un autre pays du Moyen-Orient en crise, il s’agit de l’Irak.

Depuis les élections législatives du 10 octobre, la nation irakienne a sombré dans le chaos. Dans ce contexte de crise, l’Eglise chaldéenne lance un appel pour un « dialogue national sincère et courageux ».

« Si nous ne sortons pas rapidement du chaos dans lequel la nation irakienne s’est replongée après les élections générales d’octobre, le pays devra faire face au ‘pire’, et nous savons tous que l’Irak ne peut pas en supporter davantage. »

C’est également un appel à la mobilisation que lance Jean-François Mouhot d’A Rocha France, association chrétienne dédiée à la protection de la planète.

Au lendemain de la COP26, considérée par beaucoup comme un échec, il nous rappelle qu’il y a de quoi être révolté contre l’inaction et l’injustice des puissants du monde.

Il l’affirme, « ne rien faire aujourd’hui à propos du changement climatique, et dire ou laisser dire que ce n’est pas réellement un problème, ou que ce n’est pas un problème qui concerne les chrétiens, c’est ne pas se rendre compte de la profonde injustice du changement climatique ».

Enfin, l’édito du jour se conclut par une affaire qui concerne la liberté religieuse des condamnés à mort aux Etats-Unis qui mobilise actuellement la Cour suprême.

John Henry Ramirez, condamné à mort au Texas, a obtenu un sursis en septembre dernier. Un délai obtenu grâce à son avocat, Seth Kretzer qui a fait valoir que l’État violait la liberté religieuse de son client en n’autorisant pas la pasteure qui l’accompagne depuis plusieurs années à lui imposer les mains au moment de son injection létale.

Mardi 9 novembre, les juges de la Cour suprême se sont penchés sur sa requête et sont apparus divisés. Leur verdict est attendu en 2022.

Camille Westphal Perrier

 


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