L’édito de Camille du 14 octobre

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Lorsqu’on a demandé au prêtre missionnaire, Pier Luigi Maccalli, fraichement libéré après deux années passées en tant qu’otage, comment il avait vécu sa captivité, il aurait répondu : « en priant ». 

Cette réponse m’inspire. C’est de cette manière que nous, chrétiens, nous devrions mener notre vie : « en priant ».

C’est aussi de cette manière que nous devrions lire les actualités du jour, toujours, « en priant ».

En priant pour la pandémie que nous traversons, la Covid-19, cette maladie que l’on connait encore si peu et qui met à rude épreuve notre système de santé.

En priant pour le conflit qui fait rage entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan autour de la région du Haut-Karabakh.

( Il n’est d’ailleurs, pas trop tard, pour rejoindre la soirée de prière en Live organisée ce soir à 20h30 pour l’Arménie ).

En priant, toujours, pour ce couple de chrétiens persécutés, emprisonné au Somaliland, Etat soumis aux lois de la charia.

C’est la juge Amy Coney Barrett qui déclarait lundi, lors de son audition au Sénat, croire au pouvoir de la prière.

C’est aussi mon cas.

Alors, tâchons de mettre en pratique les encouragements de l’apôtre Paul lorsqu’il s’adresse à Timothée : « j’exhorte donc, avant toutes choses, à faire des prières, des supplications, des requêtes, des actions de grâces, pour tous les hommes » (1 Timothée 2:1).

Et comme le père Pier Luigi Maccalli, nous aussi, vivons notre vie (et lisons l’actu !) « en priant ».

Camille Westphal Perrier


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