Il y a 1500 ans vers l’an 300 après JC, des hommes et des femmes en quête de progrès spirituel et de sagesse se sont retirés dans le désert égyptien. Ils ont choisi de mener une vie radicale et d’incarner pleinement les principes délivrés par la Bible pour faire Sa volonté. Découvrez leur univers, leur histoire et leurs enseignements dans l’ouvrage « Les Pères du Désert » publié aux éditions Première Partie.
« Les personnes inspirantes amènent toujours les autres à se mettre en mouvement qu’ils s’agissent d’hommes politiques, de grands artistes ou d’athlètes olympiques », peut-on lire dans l’introduction du livre « Les Pères du Désert » écrit par l’auteur et théologien hollandais Mattias Rouw.
À l’image des sportifs, des figures politiques et des artistes, les mères et les pères du désert ont en effet de quoi nous inspirer. Cependant, ce ne sont ni des artistes, ni des sportifs, ni des hommes politiques, mais des hommes et des femmes qui ont choisi de se retirer dans le désert pour se consacrer corps et âmes au Seigneur.
Cet ouvrage nous invite à redécouvrir leur histoire ainsi que le fruit de leur expérience et de leurs réflexions qui peuvent encore aujourd’hui trouver un écho dans nos vies.
Au fil de ses pages illustrées, ce très beau livre, invite également le lecteur à réfléchir sur sa propre vision du monde et à méditer sur des principes bibliques pleinement incarnés par les Pères du Désert.
« Si tu veux être connu de Dieu soit ignoré des hommes » écrivait un Père anonyme, tandis que selon Nisthérôos le Grand « le contraire de la parole n’est pas le silence mais l’écoute ». Grégoire estimait lui que « s’engager pour les pauvres ne relève pas de la charité mais de la justice ».
Ils s’appelaient Pambo de Nitrie, Moïse l’Ethiopien, Synclétique, Antoine le Grand ou encore Marie l’Egyptienne et Diadoque de Photicus. Redécouvrez grâce à cet ouvrage leur immense sagesse.
Et comme l’écrit dans la préface le directeur général du Collège des Bernardins Laurent Landete, « puissent ces récits et ces paroles convertir nos médiocres quêtes de bien-être, en recherche enthousiaste du vrai bonheur ».
Camille Westphal Perrier