Le Sénat du Kentucky vote la prise en charge médicale des nourrissons qui survivent à l’avortement

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« Qui peut contester que c’est une vie humaine ? C’est en dehors de l’utérus. C’est vivant. Qui plaiderait pour qu’il soit tué ? ... Nous voulons nous assurer que la loi est là pour punir ceux qui essaient de le faire et s’en tirer. »

Le Sénat du Kentucky vient de s’exprimer au sujet d’un projet de loi  qui obligerait les médecins et professionnels de la santé à prodiguer des soins à un nourrisson qui aurait survécu à un avortement. Le projet, appelé Born-Alive Bill, a été voté à l’unanimité. Il sera désormais porté devant la Chambre.

Les médecins et personnels de la santé auront donc l’obligation de prodiguer « des soins et des traitements médicaux médicalement appropriés et vitaux » aux bébés qui survivent à un avortement. Les contrevenants risqueront une peine allant de 1 à 5 années de prison.

Whitney Westerfield, porteur du projet, exprime vouloir « assurer que la vie est protégée non seulement dans l’utérus, mais aussi après que le bébé soit sorti de l’utérus ». Pour le sénateur, il s’agit d’une « vie humaine ».

« Qui peut contester que c’est une vie humaine ? C’est en dehors de l’utérus. C’est vivant. Qui plaiderait pour qu’il soit tué ? ... Nous voulons nous assurer que la loi est là pour punir ceux qui essaient de le faire et s’en tirer. »

Le projet est désormais en attente d’approbation par la Chambre.

M.C.


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