En s’abstenant lors du vote de la résolution de l’UNESCO, la France tourne le dos à ses racines judéo-chrétiennes

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La nouvelle résolution de l’UNESCO visant à nier tout lien entre le judaïsme et le Mont du Temple n’a pas fini de faire parler d’elle.

Le hashtag #UNESCO, parmi d’autres, est pris d’assaut par les pro et les anti-résolutions. L’un des Tweets liés à ce hashtag parodie la série « Pour les nuls », rappelant que la mosquée Al-Aqsa a été érigée sur les fondations du Temple, et non l’inverse.

Pour le Times of Israel, « La résolution de Jérusalem ignore également les racines chrétiennes ».

Selon le magazine, « avec l’augmentation de découvertes archéologiques d’une présence byzantine avant la conquête musulmane, le site historique sacré est clairement lié au judaïsme, l’islam et au christianisme - et pas nécessairement dans cet ordre ».

D’autres voix s’élèvent pour susciter un sursaut des français et notamment des chrétiens.

Karen Taïeb, conseillère de Paris, chargée de la santé, du handicap et des grands projets de rénovation de la Bastille et de Saint-Merri a fait connaître sa stupeur quant à l’abstention de la France lors de ce vote :

« Incompréhensible abstention de la France. Comment peut-on réécrire l’Histoire ? Les murs ont une mémoire ».

La France judéo-chrétienne a donc choisi de ne pas se prononcer sur le sujet du lien historique entre le judaïsme, et par ricochet le christianisme, avec le Mont du Temple.

Suite à cette résolution, Israël a suspendu sa coopération avec l’UNESCO.

Dans le monde entier, des voix s’élèvent pour dénoncer le déni de l’UNESCO. La candidate à l’élection américaine, Hillary Clinton a jugé « scandaleuse » la déclaration sur Jérusalem.

Mobilisons-nous pour que l’Histoire du Mont du Temple et de Jérusalem ne soit pas injustement réécrite.

La rédaction


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